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32 conseils pour créateurs d’entreprises

Article tiré du blog de Grasshoper Group qui a demandé à ses followers Twitter de faire part des meilleurs conseils qu’ils ont reçu lors de leur création d’entreprise.

  • Ne jamais sous-estimer la puissance d’un mot de remerciement.
  • Pensez plus intelligemment (vos API), pas plus intensément.
  • La passion pour votre produit / service, vous aidera à traverser les moments difficiles.
  • Si il n’y a pas d’autres acteurs sur un marché, méfiez-vous. Acceptez la concurrence et apprenez d’elle pour améliorer vos propres produits.
  • PENSEZ GRAND, extensibilité et plans à long terme.
  • Faites toujours payer vos clients dès le Jour 1.
  • Les envieux vont détester, mais les gagnants gagnent toujours.
  • Echouez rapidement.
  • Idée, équipe et indépendance financière. Tout ce qu’il faut à une bonne start up.
  • Faites des profits dans le plus court délai en un minimum d’efforts. Plus de salaire, plus de bureau ou plus (+) d’employés : plus (+) de profits.
  • Engagez des personnes sur leur état d’esprit. Tout le reste peut s’apprendre.
  • Restez simple – sortez votre produit pour tester ses fonctionnalités et seulement ensuite faites des ajouts.
  • Vous n’avez pas besoin d’une grande idée. Juste d’une idée qui a du sens et que vous pouvez mettre en oeuvre. Ajoutez à cela du travail, de l’agilité et de la passion.
  • N’ayez pas peur de tester-rater-apprendre et de continuer à grandir de vos erreurs.
  • La plus grande force qu’un entrepreneur puisse avoir est de constamment ré-évaluer son marché en constante mutation et de vouloir s’adapter.
  • Sortez et faites-le.
  • Toujours innover parce que si vous arrêtez, vous stagnez. Quand vous stagnez, vous mourez.
  • Quelqu’un peut voler des idées, mais personne ne peut voler l’exécution ou la passion.
  • Tout s’accélère quand vous quittez votre job et accrochez à la porte le signe « ouvert ».
  • Reconnaissez d’abord que vous ne savez pas ce que vous ne savez pas. Ça vous aidera à vous focaliser sur les bonnes questions. Ensuite vous pourrez trouver les réponses.
  • N’abandonnez pas.
  • Recrutez lentement. Licenciez rapidement.
  • Une vidéo sans fioritures de 1-2 minutes sur la page d’accueil qui explique clairement ce que fait l’entreprise.
  • Recueillez des adresses e-mail online et commencez votre campagne marketing avant d’écrire le code.
  • Vous ne pouvez pas épuiser votre potentiel.
  • Vous pouvez toujours échouer, mais n’abandonnez jamais.
  • N’ayez pas peur de faire quelque chose d’unique.
  • Allez de l’avant avec confiance, mais ne grandissez pas en étant trop attaché à votre concept. L’agilité est la meilleure arme d’un entrepreneur.
  • Connaissez vos prospects et FOCUS, FOCUS, FOCUS
  • Les moments d’euphorie sont plus forts que ce que vous n’avez jamais connu. Fêtez les car les moments de détresses sont plus fort que ce que vous n’avez jamais connu.
  • Embauchez un comptable pragmatique dès le début. Parlez budgets et choix de structure. Ne soyez pas économe ni dépensier.
  • Vous manquez 100% des opportunités que vous ne saisissez pas.

Penser à l’argent, un facteur d’échec ?

En regardant Dan Pink parler de la « science de la motivation » sur TED.com, il m’a semblé que son discours s’adaptait particulièrement bien au cas de la création d’entreprise.

Pour ceux qui veulent visionner son talk, je vous le mets ici (sous titre français disponibles):

Pour ceux qui ne le regardent pas, en substance, il explique comment, depuis 40 ans, beaucoup de sociétés sont allées à l’encontre de la recherche en matière de motivation des employés car, croyez le ou pas, pour toute tâche requérant un minimum d’initiative ou de créativité (soit l’écrasante majorité de nos activités) les personnes se voyant promettre une récompense financière en cas de succès sont autant voire MOINS performantes que celles qui n’ont aucune promesse de récompense. D’ailleurs, pour appuyer son propos, je citerais deux études parues l’an dernier dans le Time Magazine, concernant une expérience visant à récompenser financièrement de écoliers suivant différentes méthodes (plus la tâche à accomplir est simple, plus les résultats sont bons et plus elle est lointaine, comme avoir une bonne moyenne générale, plus les résultats sont absents) et une autre concernant des étudiants à l’université se motivant en s’inscrivant sur un site internet qui, pour une somme donnée, vous récompense du double ou du triple si vous atteignez vos objectifs (là aussi, plus l’objectif est simple, plus il est atteint et le site gagne de l’argent car la plupart ne parvient pas à maintenir leur motivation durant toute l’année… objectif trop complexe).

Ces résultats peuvent bien sûr être discutés. Je pense que seules les récompenses directes sont concernées (du type : 100€ pour tout nouveau client) et non les récompenses différées (du type : redistribution des bénéfices en fin d’année). D’autre part, certaines variable ne semblent pas prises en compte. En effet, une entreprise qui pratique les primes de résultat attirera plus facilement des individus entreprenants et motivés et elle gardera ses bons éléments qui se verront reconnus par les récompenses reçues.

Toutefois, ce qui me semble intéressant et juste, c’est que proposer des primes limite fortement la créativité. Le travailleur se limite le plus souvent à ce qu’il connait, ayant le sentiment qu’il sera ainsi plus efficace qu’en cherchant des moyens alternatifs inconnus.

Le parallèle avec l’entrepreneur me semble tout trouvé d’autant qu’il s’agit d’une situation dans laquelle je me trouve en ce moment. En phase de création, on pense souvent aux moyens de gagner de l’argent In Fine, de rentabiliser le business, de rembourser l’emprunt… Tout cela fait focaliser sur des détails très terre à terre à un moment du projet où il faudrait plutôt privilégier le créatif et la passion.
Le jeune entrepreneur que je suis est sans cesse hanté par ces questions : arriverais-je à vendre mon produit ? suffisamment ? Au bon prix ? C’est vraiment difficile de se sortir cela de la tête de temps en temps pour se focaliser sur d’autres choses ou pire, lorsque je dois considérer l’intérêt d’une dépense ou d’un surcout sur mon produit !

Voilà pourquoi être trop focalisé sur l’argent durant les phases amont de la création d’entreprise peut mener à mon sens à l’échec du projet. Il sera largement temps d’y penser lors de la rédaction du Business plan ou au moment de trouver des investisseurs.

Qu’en pensez-vous ? Croyez-vous qu’il faille développer son entreprise en pensant constamment aux revenus ou pensez-vous qu’il est indispensable de prendre de la distance avec l’argent pour réussir ?

10 logiciels gratuits pour la création d’entreprise

Il est inconcevable aujourd’hui de monter une entreprise sans matériel ni logiciel informatiques. Ils sont devenus indispensables à tout business pour envoyer / recevoir des e-mails, éditer des documents, surfer sur internet, trouver des clients et gérer sa base de données de prospects, tenir des comptes etc…

Utiliser les solutions les plus courantes parait logique tant nous sommes habitués à Windows, office, ciel, project, photoshop etc… C’est la solution de facilité mais il faut avoir conscience qu’alors, l’adage selon lequel « aujourd’hui, pour créer son entreprise, il suffit d’un ordinateur et de beaucoup de bonne volonté » perd un peu de son sens. La facture logiciels peut alors grimper à l’infini ou presque.

Si comme moi, vous avez du temps à consacrer à votre création d’entreprise, pourquoi ne pas vous tourner enfin vers le logiciel libre (ou à défaut opensource ou juste gratuit)? Allez, avouez que ça fait longtemps que vous y pensez mais que vous n’avez jamais osé !

Voici donc pour vous, des solutions gratuites pour faire aussi bien qu’avec du payant, et qui sont utiles à toute création d’entreprise.

L’ordinateur : affranchissez vous de la main d’œuvre, assemblez votre PC vous même !

http://www.assembler-pc.fr/index.html

Économie : env. 200 €

Mon avis : je n’ai pas testé puisque je travaille sur un netbook, mais au prochain achat, je m’y mets !

Le système d’exploitation : optez pour Linux ! Facile, fiable et surtout… gratuit ! Ubuntu est une distribution simple et très proche de Windows dans son fonctionnement.

http://ubuntu-fr.org/

Économie : env. 180 €

Mon avis : une fois les logiciels installés, le fonctionnement est identique à n’importe quel autre système d’exploitation : on démarre le logiciel et on l’utilise ! Avantage certain, la plupart des logiciels cités dans la suite de cet article sont optimisés pour Linux et sont mis à jour plus régulièrement que leurs versions Windows. Il y a également un catalogue de logiciels libres plus important.

La suite bureautique : OpenOffice.org est une solution qui n’a plus à prouver sa qualité. Elle est par ailleurs livrée avec traitement de texte, tableur, base de données, outil de présentation, de dessin vectoriel…

http://fr.openoffice.org/

Économie : env. 120 €

Mon avis : très bon et très complet. Largement suffisant pour toute activité bureautique de base. Permet d’imprimer en pdf et d’ouvrir tous types de fichiers.

La retouche d’image : The Gimp, alternative gratuite à Photoshop. Permet de retoucher et créer des images, photos, logo, documents de communication etc…

http://www.gimp.org/

Économie : env. 70€

Mon avis : complet et intuitif, il permet de faire presque tout ce que vous pouvez espérer d’un logiciel de retouche d’images. Si vous êtes touche à tout et prêts à vous lancer dans la création d’un logo ou d’une bannière pour votre site web, vous trouverez plein de bons tutoriels pour The Gimp.

La comptabilité : Gnucash

http://www.gnucash.org/

http://fr.wikipedia.org/wiki/GnuCash

Économie : env. 120€

Mon avis : facile, intuitif et rapide (remplissage semi automatique des champs), il est parfait pour mes comptes personnels. Je ne l’ai pas encore essayé pour des comptes d’entreprise, mais je pense qu’il doit suffire, dans un premier temps au moins.

La gestion de projets : Planner, alternative convaincante à MS Project.

http://live.gnome.org/Planner

Économie : env. 700€ (waouh, c’est cher !)

Mon avis : sûrement limité par rapport à Project (faut bien justifier le prix !), mais largement suffisant pour une utilisation basique : planification, tâches, assignation de tâches etc..

L’édition de site internet : Kompozer / BlueGriffon

http://kompozer.net/

http://bluegriffon.org/

Économie : env. 400 €

Mon avis : je n’ai pas encore testé ces logiciels…

L’édition d’un blog : WordPress

http://wordpress.org

Économie : env. 50€ par an

Mon avis : hautement personnalisable avec des milliers de thèmes et de widgets. Demande un peu d’efforts au départ mais le résultat est à la hauteur !

 

La CAO : Sketchup, outil développé par Google pour créer des bâtiments destinés à être affichés dans Google Earth. Mais vous pouvez tout aussi bien dessiner une chaise ou tout autre produit simple en 3D.

http://sketchup.google.com/

Économie : env. beaucoup !

Mon avis : limité par rapport aux logiciels professionnels tels que Autocad ou Solidworks, il permet toutefois de créer des objets en 3D avec des cotes. Tout en restant dans des objets simples, c’est suffisant pour montrer un produit à un client ou pour faire fabriquer une pièce. Et c’est tellement simple à utiliser !

Le téléphone : Skype. Il existe des offres intéressantes en téléphonie de nos jours si vous appelez surtout des fixes, mais si vous êtes amenés à appeler souvent sur des téléphones mobiles ou à l’étranger, ça vaut le coup. Bon d’accord, ce n’est pas tout à fait gratuit… mais c’est une sacrée économie tout de même !

http://www.skype.com/intl/fr/home

Économie : env. quelques dizaines d’euros par mois

Mon avis : avec un bon casque-micro et une bonne connexion internet, la communication est quasi parfaite et vous pouvez même obtenir un vrai numéro de téléphone pour être appelés.

Il y en a d’autres, bien sûr, comme des outils de CRM, de création de business plan ou d’édition vidéo ou musicale… Je vais tenter de créer une liste que je tiendrai à jour sur une page fixe de ce blog. En attendant, vous pouvez explorer l’annuaire des logiciels libres ici :

http://www.framasoft.net/

wordpress.org/

7 sites pour trouver votre nom d’entreprise

Trouver le nom de votre entreprise est difficile… il va représenter tellement !

C’est celui que vont prononcer vos clients (ou prospects dans un premier temps).
C’est celui que vous allez répéter des dizaines de fois par jour, y compris au téléphone.
C’est celui qui apparaitra sur tous vos documents, brochures, cartes de visite, site internet… et qui sera si difficile à changer (contrairement au slogan).
Et surtout, c’est celui qui va véhiculer votre image, qui doit être facile à retenir, à épeler, qui doit raconter votre entreprise etc..

Voici 6 sites pour vous aider dans cette tâche ardue :

Sur le blog de Guilhem Bertholet : bon récapitulatif des points importants.
http://www.guilhembertholet.com/blog/2010/11/08/trouver-le-nom-de-sa-startup/

Sur MarketingSherpa : 3 étapes et erreurs à éviter (en Anglais).
https://www.marketingsherpa.com/article.php?ident=24156#

Sur Onstartups.com : 17 suggestions pour nommer votre startup (en Anglais).
http://onstartups.com/tabid/3339/bid/17702/17-Mutable-Suggestions-For-Naming-A-Startup.aspx

Sur Come4news : descriptif très complet et surtout avec de vrais « trucs » (comme les évocations de telles ou telles consonnes au début du nom etc…)
http://www.come4news.com/6-etapes-pour-trouver-le-nom-de-son-entreprise-de-sa-marque-ou-de-son-site-int.html

Dictionnaire d’expressions : bien pratique pour trouver des jeux de mots ou des évocations autour de votre thème.
http://www.mediadico.com/dictionnaire/expression

Dotomator : site qui vous propose des combinaisons de plusieurs mots ou encore un générateur d’adresses web 2.0. Idéal si vous êtes en panne d’inspiration.
http://www.dotomator.com/

Namechecklist : verifie la disponibilité de votre nom pour différentes extensions de sites internet, pour les réseaux sociaux et vous donne le nombre de réponses dans les moteurs de recherche.
http://www.namechecklist.com/

Bonne recherche !

Les secrets d’un bon slogan

Qu’est-ce qui fait la différence entre :
« On se lève tous pour Danette ! », « Yes, we can », « Boire ou conduire il faut choisir », « Nespresso, What Else ? » ou encore « Parce que je le vaux bien »
et les slogans suivants :
« Il faut un président à la France », « Fruitella, le bonheur d’être tous ensemble », « Gervais aux fruits, grandir dans le bon sens » ou encore « Apporter la santé par l’alimentation au plus grand nombre » ?

Je ne suis pas expert pour y répondre, mais Pierre Morsa, oui !
Il a écrit une série de 3 articles sur le sujet que je résume pour vous :

Il utilise le concept de la Powerline : une phrase qui accroche avec un pouvoir évocateur puissant.

Une powerline peut être un slogan, mais également une citation célèbre (I have a dream), une réplique de film (C’est bon, c’est fin, ça se mange sans faim) ou même une blague (le « Mangez des pommes » de la marionnette de Chirac aux guignols lui a certainement servi à asseoir son image France-Terroir…).

Dans le cas d’un slogan, il doit décrire ce que le consommateur attend du produit (sans forcément tomber dans la description vide de sens du genre : « Dupont, charpentier menuisier »).

Les trois règles d’or sont les suivantes :

  • Raconter une histoire (Eastpak, « Build to resist »)
  • Être crédible (« Andros, ça c’est fort de fruit », meilleur que « Snapple, the best thing on earth, just got better »)
  • Avoir une sonorité mémorable (Pti Dop, « Ne pique pas les yeux, évite les noeuds »)

Il y a par ailleurs quelques règles d’argent qu’il est important de respecter :

  • Décrire / rappeler la promesse (les bénéfices du produit pour le client)
  • Être original, se démarquer de la concurrence
  • Provoquer une émotion
  • Ne pas travailler en comité ou en focus group pour la phase créative
  • S’assurer que le slogan permet de comprendre ce que le produit peut faire pour le client
  • Être présent : apparaître sous plusieurs formes (écrite, orale) et via plusieurs supports
  • Garder un bon slogan… Le changer pourrait décevoir les clients
  • Donner de la personnalité au slogan

Pour finir, voici une powerline qui est restée incontestablement dans l’histoire :
Veni, Vidi, Vici (pas la peine de citer l’auteur, je crois…)

Je vous mets les liens vers les articles de Pierre Morsa :
Article 1
Article 2
Article 3

Bon, mais concrètement ?
Ça fait deux jours que je suis plongé là dedans… et même si j’ai saisi l’idée générale, c’est bien plus compliqué que ça en a l’air…
J’ai maintenant une petite dizaine de slogans, mais en les lisant à voix haute, ils sonnent franchement ridicules… il faut vraiment faire chauffer le dictionnaire des synonymes pour trouver LE terme qui sonnera bien et n’aura pas de connotation étrange…

Bon, je pars en reformuler quelque-uns !!

Edit : le site suivant répertorie des centaines de slogans publicitaires… une bonne source d’inspiration !
http://slogansdepub.skyrock.com/

Et en cadeau bonus, les anglophone (sous-titres en Français disponibles) pourront se délecter de la leçon de marketing de Simon Synek : How great leaders inspire action ?

C’est aussi une bonne leçon d’argumentation, domaine dans lequel les américains excellent…

Entreprise (potentiellement) limitée dans le temps

Je suis confronté à un cas de conscience particulier. Laissez moi vous expliquer :

Nous sommes aux USA jusqu’à la fin de l’année car ma femme y fait de la recherche. Son objectif étant de trouver in fine un poste permanent de chercheur, elle va probablement devoir à nouveau accepter un contrat de 2 ou 3 ans quelque part en Europe et c’est là que nous atterrirons.Le décor est planté.

Deux possibilités s’offrent à moi :

– Chercher du travail (probablement en R&D) là où nous arriverons, et garder mes projets de création d’entreprise pour plus tard. C’est plus simple car il est facile de quitter un emploi salarié une fois les 2 ou 3 ans passés, mais je devrais alors abandonner mes projets de création en cours et penser à créer pour la première fois, vers mes 30 ans et avec peut être plusieurs enfants dont un ira à l’école…

– Créer une entreprise, mais en ayant à l’esprit que ce sera pour 2 ou 3 ans et en prenant cela comme contexte. Ceci signifie être rapidement opérationnel, monter un business basé sur un produit simple, avec le moins de références possibles (il faut du temps pour développer de nouveaux produits) et qui soit éventuellement transportable ailleurs en cas de nouveau déménagement dans 3 ans…
C’est la solution que je vise, évidemment, puisque je meurs d’envie de créer en ce moment et je crains qu’il ne soit trop tard ensuite (responsabilités familiales, moins bonnes idées, regrets…). C’est pour cela que je travaille en ce moment : j’espère réussir à préparer le terrain suffisamment bien pour que le business soit rentable plus vite une fois l’entreprise officiellement créée.

Que pensez-vous de cette dernière assertion ?
Comment gérer cette incertitude quant à la durée de vie de l’entreprise à créer ?

Et si ça marchait si bien que l’on décide de rester là où nous serons pour que je continue mon aventure entrepreneuriale ?